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Récit d'une séance d'accompagnement avec PandoraStar.


Voici l’exemple d’une séance PandoraStar et de ce que la lampe peut apporter à un accompagnement.


M. est une habituée de mes séances « classiques » de DEI, elle a également été suivie en hypnose et diverses thérapies énergétiques. Elle va tester pour la première fois une séance avec la lampe hypnagogique.


Dans son intention de travail, elle émet le souhait d’être tout simplement plus présente, être plus en contact avec son Etre.


Je lui propose de faire cela en deux temps. En premier lieu, je lui propose un programme visuel de 15mn, sans accompagnement, en mettant une intention. Cela va stimuler la glande pinéale, refaire circuler toute l’énergie du corps, afin d’augmenter sa « réponse » corporelle et, éventuellement, avoir une vision en rapport avec sa problématique.


L’intention est posée, le programme est lancé. Je reste toujours présent lors de ce genre de session même si il n’y a pas d’accompagnement pour le moment. Il faut savoir qu’il y a un lien subtil qui s’établit entre le thérapeute et le patient dans tout acte de thérapie, et que, par sa simple présence, l’observateur modifie l’expérience. Je me place donc en état de conscience modifié, fais taire le mental et déploie mes perceptions en plaçant toute mon attention sur M.. Les premiers effets se produisent : l’énergie se dilate fortement à la tête, puis cela s‘étends rapidement à la poitrine, aux jambes… tout le corps énergétique de M. se dilate, le corps physique se détends. L’énergie congestionnée commence à sortir par les pieds et la tête ; je perçois quelque chose qui résiste au niveau du ventre, il y a un « creux » dans le champ d’énergie.


C’est alors qu’une grande présence apparaît, de plus de 2m de haut, une entité à l’énergie très bénéfique et très forte. Ces entités se présentent souvent en séance mais lorsque l’énergie du patient a suffisamment augmentée, sinon leur action reste très limitée. L’avantage de lampe est de propulser très rapidement le patient dans des vibrations compatibles avec ces présences. Certains diront que ce sont des guides, des anges, des archanges… selon ma vision, le véritable divin étant en soi, ce sont des manifestations du Soi supérieur. Tous les thérapeutes travaillent (normalement) avec ce genre d’entités, consciemment ou non.

Cette entité « travaille » les ovaires, effectivement il y a un point qui fait chuter l’énergie à cet endroit. Mais au bout d’un moment cela se libère, tout le corps se relâche encore plus, M. soupire, l’entité disparaît. Il y a maintenant une énorme boule d’énergie qui arrive au niveau de la poitrine et qui fait le tour de M. en faisant comme un lissage général du corps énergétique, de la tête aux pieds. Fin du premier programme.


Nous partageons nos ressentis, M. me confirme avoir senti ses ovaires vibrer, surtout un en particulier. Elle me fait part d’une info, concernant l’éventualité qu’elle ait pu avoir un jumeau dans le ventre de sa mère, pendant un temps. Cela arrive, deux embryons se forment, mais un se détache. Des saignements, petite inquiétude puis tout rentre dans l’ordre. Mais personne n’a compris que c’était un avortement spontané.


Deuxième étape. Cette fois je lui propose un programme qui l’amènera dans les ondes thêta, à la lisière du conscient, là où la frontière avec l’inconscient s’estompe. Je vais pratiquer simultanément un accompagnement de DEI.


Une fois le programme lancé, j’attends quelques minutes, j’observe M., puis les signes de la modification de l’état de conscience apparaissent : déglutition, mouvement des yeux, relâchement.


Je commence à lui faire répéter mes phrases de demandes et nous appelons alors un premier fragment d’âme, une partie d’elle en résistance, qui doit être reconnectée en priorité. L’info tombe, c’est en rapport avec l’ovaire. Mais cela n’appartient pas à cette vie. Des bribes d’une autre dimension se mêlent à la nôtre et rapidement nous prenons conscience que M. a aidée d’autres femmes à pratiquer l’avortement « à l’ancienne ». Une faiseuse d’anges, comme on les appelait. Une grande culpabilité remonte, portée par des centaines de voix d’âmes coincées entre deux mondes… ou plutôt de fragments d’âmes des présumées « victimes » de M. retenues par cette émotion de culpabilité, qui en soit n’est qu’une illusion. Car du point de vue de la source de l’être, l’avorté a choisi cette expérience. La vérité est dite, soupir, libération des âmes… dissolution du fragment dans la source de l’être.


Plus tard M. me confiera que son désir d’enfant était fort, mais qu’elle ne s’y autorisait pas pleinement, car « quelque chose clochait », sans savoir quoi.

Sous la lampe l’énergie bouge vite et je m’aperçois que je n’ai plus besoin de faire répéter les phrases de demande à M., il suffit de transmettre l’intention, comme si elle était directement reçue par l’inconscient et les parts spirituelles, et le travail se fait.


On continue. M. sait très bien que dans tout ce qu’elle a fait comme travail sur elle, elle tournait autour de quelque chose, sans accepter de le regarder. Cette angoisse dans son ventre serait-elle liée à son jumeau ? Dès que je lui en parle elle ressent une charge qui remonte des profondeurs de son ventre, de « très très profond » selon ses mots… à ce moment elle prit conscience que c’est elle qui entretenait cela, comme si elle ne voulait pas laisser partir ce frère. « Au moment où on a parlé de lui, j’ai senti que j’aurais pu pleurer pendant trois jours sans m’arrêter… ».


Nous appelons ce jumeau. Il s’assoit sur son ventre. Elle le sent. Mais là l’émotion a changé. Car elle reprit conscience de la nature de ce lien, elle se souvient qu’ils se connaissaient déjà, qu’il était venu seulement l’accompagner pour la descente dans la matière et qu’il repartirait tôt, avant de développer un corps physique. Et que tout cela était juste… que derrière toute cette angoisse le rayon d’amour qui les relie est toujours là, qu’il ne sera jamais coupé… où que soit son âme… Et elle finit par accepter tout cela.


Grand relâchement, l’énergie de la charge vibre et se délite, l’entité rayonne puis disparaît…réintégration du fragment de M. qui résistait, qui voulait sortir de son corps pour rejoindre ce jumeau dans l’au-delà…


Puis M. comprit tout. Eclairage sur sa vie. Elle se souvient que dès l’âge de quatre ans, quand ses parents ont divorcé, elle « parlait » à un frère qu’elle n’a jamais eu, pour palier à l’angoisse d’être seule, jusqu’à ses sept ou huit ans. C’était une enfant très nerveuse. Et durant toute sa vie, elle ne pouvait s’imaginer seule, besoin d’être accompagnée, dans tous les secteurs de sa vie. Dès qu’elle se retrouvait seule, une grande angoisse la gagnait, une nostalgie inexpliquée l’habitait, « je subissais complètement cet abandon » dit-elle.


Depuis cette séance M. ne ressent plus cette angoisse, quelque chose de profond s’est libéré. C’était LA séance, m’a-t-elle confiée.

M., remercie-toi d’avoir osée plonger dans cette obscurité pour la transcender, car le premier moteur c’est Soi… Et c’est moi qui te remercie pour cette belle expérience que tu m’as autorisé de retranscrire à l’écrit…


Je conclurai ce témoignage en vous faisant part des avantages à faire un accompagnement agrémenté de PandoraStar. Nous pouvons descendre plus profond dans les mémoires de l‘inconscient, sur le plan psychique les effets peuvent s’ancrer plus facilement et la fluidité énergétique permet une meilleure réponse et intégration du travail. M., qui a pu comparer avec les séances classiques, a constaté que les informations arrivaient plus rapidement.



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